Dans le dur, partie 2
Récits des 137 évanouissements, par Genica Baczynski III. Dans le dur – 2 Chaque matin, ils arrivent, préparent le café, bavardent de tout et de rien avec une préférence pour les discussions disons alimentaire. La nourriture ingérée est non pas une manière de trouver un sujet distrayant qui allégerait l’espace de quelques minutes la pression. …
Dans le dur, partie 1
Récits des 137 évanouissements, par Genica Baczynski III. Dans le dur – 1 Depuis plusieurs semaines, un peu plus d’un mois, je les regarde parcourir une destinée commune dont ils ignorent, après tout, la réalisation manifeste. J’assiste à un plus de théâtre comme on parle de plus de réalité pour le cinéma. Une chose humble …
trois soeurs, répétitions des 137-5
Dans une ville de garnison en Sibérie ( probablement Perme ), trois sœurs célèbrent deux anniversaires : la naissance de la benjamine et la première année de la mort du père. Sur le manuscrit Tchekhov avait écrit : « Du présent n’attendez rien n’espérez rien. ».
ONCLE VANIA, répétitions des 137-4
Est-ce qu’il est juste d’investir quelqu’un de tous nos rêves, de toutes nos aspirations…?
LA MOUETTE EN COULISSES, répétitions des 137-3
Quand Alex Mesnil promène sa caméra et saisit de petits instants décalés
BLEU DE CHAUFFE
Récits des 137 évanouissements par Genica Baczynski II. BLEU DE CHAUFFE un peu avant septembre… Et ici, dans cette rue, ce lundi matin, on peut dire qu’elle s’évoque, cette immobilité. On la respire. Elle est la compagne idéale du silence. Il règne en maître dans le quartier à en tétaniser les plus bavards. On se …
LA MOUETTE, Répétitions des 137-1
Semaine 1: Le réveil de La Mouette au Théâtre-Studio… le travail est dense, intense et Ô combien jubilatoire ! Alex MESNIL, assistant à la mise en scène – et comédien sur les 137 – filme et photographie les répétitions :
Flash Back
Récits des 137 évanouissements par Genica Baczynski I. Flash Back Maintenant les répétitions commencent, le chantier des 137 évanouissements bruisse de tout son corps dans le théâtre, pourtant il faut bien revenir en arrière. Pas de beaucoup, juste assez pour comprendre, enfin admettre, que tout sera mélancolie, pas celle des grands yeux noirs, mais noirs …